Françoiz Breut et Jawhar, en français dans le texte (une première pour le musicien belgo-tunisien) partent à l'aventure dans l'univers visuel, industriel et désolé, lancé par le même réalisateur Simon Vanrie dans les clips précédents de la chanteuse.
Toujours issu du dernier album de Françoiz Breut, Flux flou de la Foule sorti en avril 2021, le titre évoque le nucléaire et les cuves de Tihange, ses fissures sous le béton et cette « ville qui nous ronge, qui nous grignote » comme elle le disait dans une interview accordée à L'Écho au moment de sa parution. Une période de création qui coïncide avec le confinement et ses balades en périphérie bruxelloise dans ses friches industrielles.