Si la house et la techno sont nées parmi les communautés noires et “queers” aux États-Unis, elles ont aujourd’hui l’image de musiques d’Européens aisés et bien comme il faut. Le constat est là : la scène électro (au sens large), réputée inclusive et ouverte d’esprit, ne l’est plus tant que ça. Ça se traduit par un manque de visibilité des personnes FINTA (femmes, intersex, non-binaires, trans, a-genre), queers ou d’origine étrangère, que ce soit dans la cabine du DJ ou sur la piste.