Ces derniers temps, les maisons de disques célèbrent activement les exploits d’autrefois. Les anciens albums de Girls in Hawaïï, de Ghinzu, de Telex, de Front 242 ou de Guy Cabay retrouvent ainsi des couleurs à la faveur de belles rééditions. Alimentée par la nostalgie et une demande croissante du public, la pratique entrouvre des perspectives et, au moins, une question: le futur de l’industrie musicale passe-t-il par le passé?